Observations sur le tome 2

Répliques

 

Dino Golzine : « Un lynx est un lynx. Ce n’est pas un chat. »

Au fond de lui, Papa Dino semble très fier de la résistance que lui oppose son protégé…

 

Ash : « Vous deviez être à l’affût. Comme si vous saviez que vous me trouveriez là. »

Evanstine : « Fais gaffe à ce que tu dis, petit con. »

Ash a raison. C’est pourquoi le détective véreux qu’est Evanstine s’inquiète immédiatement…

 

Antonio : « Ash ne se confiera plus maintenant. Je laisse tomber »

Charlie : « Je vais lui parler. Je peux peut-être… »

Antonio et Charlie cherchent à recueillir le témoignage d’Ash, espérant récolter davantage d’éléments pour faire chuter Dino Golzine. Mais il n’y a pas que cela : ils éprouvent aussi une sympathie instinctive pour Ash.

 

Dino Golzine : « Il fait d’abord semblant de résister. Puis, il se laisse faire. Et à la première occasion, il me fait la peau. Il force l’admiration. Il sait qu’il ne peut pas gagner, alors il va tenter un coup suicide. »

Papa Dino a longtemps vécu avec Ash. Il sait comment il fonctionne, et ne baisse pas sa garde.

 

Ash : « C’était un sacré saut. J’aurais pas cru ça de toi. »

Ash est admiratif devant le courage et la dextérité d’Eiji, qui l’a surpris en bien.

 

Max : « Tu l’as lu ?! C’est moi, c’est mon bouquin ! »

Ash : « J’ai préféré Libérer le Vietnam de William Barchet. Tu devrais te contenter de faire des articles. Fais pas la gueule, c’est un compliment… Tes chroniques sont bien plus intéressantes que certains romans pourris. Tu ferais mieux de rester journaliste plutôt que d’écrire de la merde. »

Ash est très franc. Dommage pour Max qui, tout content, lui parlait avec un petit cœur dans la bulle x). Mais comme le signalent également les pensées de Max, ce commentaire révèle également que la culture d'Ash est étendue, et que les livres compliqués ne l'effraient pas.

 

Max : « "Ash doit avoir peur." Ben voyons. Merci du cadeau, Charlie. »

Charlie et Eiji lui avaient demandé de protéger Ash. Ce qui finalement, vu l’attitude belliqueuse de ce dernier, lui semble presque impossible, voire inutile. Et pourtant il le fait, mais il doit sans doute avoir l'impression de se débattre en vain.

 

Ash : « J’attends ce moment depuis qu’ils m’ont attrapé quand j’avais 11 ans. Le seul moyen de m’en défaire, c’est de les affronter. Je ne lui pardonnerai jamais. Il a tué Skip comme on écrase une mouche. »

La haine de Ash envers son patron ne date pas d’hier. Depuis le début, il attend l’heure de sa vengeance. Mais la mort de Skip le pousse à enfin mettre ses projets en oeuvre.

 

Ash : « Il me reconnaît pas, moi ! Comme tu l’as dit, cette drogue l’a fait disjoncter. (…) Si jamais je sors d’ici, je te tuerai. Bonne nuit, Lobo. J’aimais bien tes articles. »

Ash aime profondément son frère, malgré ce qu’il est devenu. En dépit de la sympathie de Max, il ne peut pas encore lui pardonner de l’avoir mis dans cet état, même s’il sait qu’il n’avait pas le choix..

 

Max : « Après tout ce temps… Pourquoi ? »

Max ne s’attendait pas à voir ressurgir les fantômes de son passé. Il se rend encore coupable pour tout ce qui concerne Griffin, et cette pensée le torture. Les réactions d’Ash ne font rien pour le soulager.

 

Deux types de Chinatown : « Mais à ta place, je prononcerais pas le nom de Shorter. Si les gars d’Arthur te tombent dessus, t’es cuit. »

Alors qu’Eiji les trouvait effrayants de prime abord, les personnes auprès de qui il se renseigne se révèlent finalement plutôt aimables. Hélas, en dépit de ce conseil, Eiji évoque Shorter lorsqu’il se trouve à Chang Dai. Il est filé et les événements conduisent à la mort de Griffin…

 

Eiji : « T’es malade. C’est à vomir ! »

Les menaces d’Arthur, qui lui dit vouloir le remettre à Golzine pour faire du tort à Ash, n’effraient pas Eiji. Il n’hésite pas à répliquer.

 

Dino Golzine : « Ash et toi, vous êtes comme le feu et la glace. »

Papa Dino utilise Arthur. Il l’apprécie, mais au fond, il continue d’admirer Ash… et entre Arthur et Ash, il ne fait aucun doute qu’il a déjà fait son choix !



Observations

 

Quand Eiji se rend à Chinatown, il porte une chemise hawaïenne aux coins noués sur le devant et des lunettes de soleil. Il est à ce moment-là très représentatif de la mode des années 80…

Lorsque Arthur menace le docteur Meredith et Miss Brandish, Eiji se résout à avouer. Il espère qu’ainsi, les truands leur laisseront la vie sauve à tout trois. Mais il apprend bien vite qu’à New York, l’honneur n’existe pas.


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