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Observations sur le tome 1

Répliques

 

Ash : « Sac à merde. J’ai dit que tu étais un sac à merde ! Un gros porc de Marvin ! »

Dès le début, Ash ne se gêne pas pour montrer son antipathie envers Marvin.

 

Papa Dino : « Tu es doué, Ash. Trop pour être le chef d’une bande de minables. Je voudrais que tu travailles pour moi, que tu sois mon bras droit, petit. »

Malgré le dégoût évident d’Ash, il est facile de déceler dès le début, aux paroles et aux gestes de Papa Dino, le sentiment ambigu qu’éprouve ce dernier pour son jeune subordonné.

 

Norris : « Ils ne respectent pas nos lois, mais ils ont leurs propres règles et s’y tiennent. En général, il y a un chef pour chaque bande. Le caractère du groupe reflète celui de son leader. Parfois, un chef dirige plusieurs bandes et quand il y a friction entre les gangs, c’est à lui de calmer le jeu. Ils sont d’une loyauté sans faille envers le chef qu’ils ont choisi. »

L’explication de l’inspecteur de la brigade des mineurs sur ceux qu’Ibe s’apprête à aller voir.

 

Papa Dino : « On doit punir un chat qui désobéit, mais pas l’empêcher d’attraper des souris. »

Voilà qui est très révélateur de la façon d’agir de Papa Dino avec Ash. Il veut soumettre Ash mais pas le briser, car il lui est encore utile.

 

Ash : « Au Japon, ils prennent toujours les assistants au berceau ? »

Eiji : « Je suis plus vieux que toi. »

Tout au long du tome, les nombreuses réflexions sur son âge semblent agacer Eiji… Mais en lui répondant ainsi, Eiji montre aussi qu’il n’a pas peur d’Ash.

 

Eiji : « Charlie ! »

Skip : « Baisse-toi, imbécile ! »

Eiji ne se rend pas encore compte du danger qu’il court et se croit sauvé par l’arrivée de Charlie. Heureusement, Skip veille sur lui…

 

Eiji : « C’est pas un film. Tu risques vraiment d’y laisser ta peau ! »

Dans la voiture de ses ravisseurs, Eiji assiste à la mort de quelqu’un. Cette fois, il se rend compte du danger…

 

Eiji : « Donne ton bras, je vais faire un garrot. Merci de m’avoir sauvé la vie. »

Ash : « Il aurait peut-être mieux valu pour toi que tu meures. »

Eiji, sans craindre la sauvagerie d’Ash lui-même, n’éprouve que reconnaissance envers celui qui a accepté de se rendre alors que Skip et lui étaient menacés.

 

Eiji : « < Ils me regardent tous ? Faut dire que je cours comme un dingue et que je suis couvert de sang ! > »

Sans se soucier des regards qu’il attire, Eiji se précipite pour appeler les secours. Finalement, il a eu de la chance de s’être fait remarquer puisque, ayant perdu connaissance, il est retrouvé par des policiers grâce aux indications des passants.

 

Eiji : « < Ash a risqué sa vie pour moi. Et sans moi, Skip ne serait pas là où il est. Je m’en veux. Je n’ai fait que leur attirer des ennuis. > »

Par ce sentiment de culpabilité dû à sa seule gentillesse, Eiji pénètre déjà dans le monde des truands de New York… Sa vie ne sera plus jamais la même.

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